Séances de maïeusthésie
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Séances de maïeusthésie
Séances de maïeusthésie
FIFALIA
Découvrir l'accompagnement
au déploiement
L'accompagnement au déploiement, un accompagnement spécifique et adapté des personnes qui ont subi des violences sexuelles
Le traumatisme,
ce n'est pas l'événement, c'est la façon dont la personne l'a vécu
A la différence des thérapies de l'enfant intérieur, on ne cherche pas à consoler ou rassurer l'enfant qu'on a été, on ne l'isole pas dans une bulle protectrice.
Consoler,
C'est nier
IL N'EST PAS NÉCESSAIRE DE RACONTER
Raconter peut être anticipé comme tellement éprouvant que cela peut décourager toute démarche de consultation thérapeutique.
Ferenczi l’avait intuité, les neurosciences l’ont démontré, on sait maintenant que raconter « retraumatise ».
Or, avec l'accompagnement au déploiement, il n'est pas nécessaire
de raconter ce qu'on a vécu.
Lorsque l'on ressent des émotions,
on a besoin de les donner à entendre.
On écoute son ressenti dans sa nature (quelle émotion) et dans sa mesure (à quel point).
Un apaisement en découle qui produit une remédiation (déclivage).
UNE AUTRE CONCEPTION DU SYMPTÔME
Le symptôme disparait parce qu'il y a réhabilitation de l'Être de soi qui était clivé.
Lors de l'évènement, un clivage (pulsion de survie) s'est produit du fait de ce qui a été ressenti d’insoutenable.
La réhabilitation de l'Être de soi qui a été clivé lors de
l'événement entraîne la suppression des symptômes
parce qu’ils étaient des indicateurs pointant vers lui.
LA DIMENSION CORPORELLE
EST UN AXE IMPORTANT DE L'ACCOMPAGNEMENT
Une spécificité (parmi d’autres) de cet accompagnement, c’est qu’on s’occupe également du vécu du corps, qui est parfois différent de celui de la psyché.
Le corps est pris comme un interlocuteur à part entière dont on écoute les ressentis avec la même attention et la même délicatesse.
LA THÉRAPIE PERMET DE SORTIR DE L'EMPRISE DE L'AGRESSEUR
Pour se libérer de l'emprise de l'agresseur, certains thérapeutes prétendent que la notion de "parent toxique" va aider les personnes qui ont subi des viols incestueux dans leur enfance. Si cela a souvent pour effet positif de transformer la terreur en colère, stagner dans la rage est toxique...
Il y a deux façons d'être attaché-e (aliéné-e) : par la fascination et par le rejet.
Le parent toxique occupe beaucoup les pensées de l'adulte qui croit à cette étiquette.
Par l'accompagnement au déploiement, la libération de l'emprise de l'agresseur se produit parce que l'on propose à la personne de faire la distinction entre les faits qui sont inacceptables, impardonnables et dont l'agresseur a l'entière responsabilité, et l'être qui a commis ces actes. En connectant son humanité, la personne peut enfin pleinement se libérer de son emprise. Cela ne signifie pas une réconciliation dans la réalité, cela signifie qu'elle intègre qu'elle n'est pas issue d'un monstre. Elle ne se sent plus coupable, elle n'a plus honte, et elle peut goûter une paix intérieure.
Le symptôme se manifeste "spécialement pour" réhabiliter l'Etre de soi qui a été clivé
La traumaticienne engage une médiation de dialogue intérieur avec l'Être (l'enfant, l'ado, l'adulte) qu'était la personne lors de l'événement ce qui la place dans une métaposition. Cela lui permet de prendre de la distance avec les faits tout en allant à la rencontre de l’Être qui les a vécus et que l’on va réhabiliter en écoutant ce qu’il a ressenti, comment il a vécu l'événement.
Dans cet accompagnement, on ne porte pas notre attention sur les faits, mais sur les êtres qui les ont vécus.
De cette façon, la personne n’est jamais exposée ni confrontée à ce qui s’est passé, ce qui permet une remédiation dans la douceur et la délicatesse.